C’est amusant de voir comment le « swissness » de nos produits d’exportation, unanimement loué, car témoignant d’une qualité supérieure et d’une fiabilité totale, devient « swiss finish » quand il s’agit de produits bancaires, et se transforme en risque potentiel.
La qualité suisse peut-elle vraiment être à géométrie variable? J’en doute.