Trump, apocalypse now, et les indignés

Vous je ne sais pas, mais moi je sature avec l’ambiance « apocalypse now » de ce 20 janvier. Non pas que je veuille minimiser les risques ou le choc que représentent une présidence Trump, mais bon, voilà: Donald Trump va être président. S’il dérape grave, il y aura toutes sortes de contre-pouvoirs qui se dresseront. C’est cela la démocratie: un rapport de force entre une majorité et des minorités.

Cette présidence offre à tous ceux qui la contestent ou la redoutent, à tous les indignés, l’opportunité de se lever, de se dresser, d’argumenter, de défendre d’autres points de vue, de proposer d’autres solutions. La présidence Trump est peut-être inquiétante, elle sera passionnante.

Un homme, fut-il président des Etats-Unis, ne change pas l’histoire à lui tout seul. On l’a bien vu avec Barack Obama.